Sardinia


Sardaigne

 

Photos
Galleries

Fishermen / Pecheurs
Montreal
Circles / Cercles
Alleys / Ruelles
Mirrors / Miroirs
Art Lovers/ Amoureux de l'Art
Pictures from the East / Images d'Orient
Morocco,  Maroc
Iran
Turkey,  Turquie
 Afghanistan
Jerusalem
Esterel (France)
Les Maures (France)
Illuminated Villages / Villages enluminés
Lavenders of Provence / Lavandes en Provence
Provence
Elsewhere/ Ailleurs
Leonard Cohen in concert

Esterel (texte)
Le Miroir (texte)
Read the GuestBook / Lire le Livre d'Or
Everest 2006, expédition sans oxygène
Everest 2006, expedition without oxygen
In honor of the unknown photographer
En hommage au photographe inconnu
Partners  / Partenaires
Links / Liens
Free Tibet

To send a mail / Pour envoyer un message

I went to Sardinia in November 2000 with a view to looking for natural and wild landscapes, free from any human presence, from any trace of civilization. So I focussed on the North and more particularly on the East of Sardinia because it is renowned for remaining unspoilt. As I live on the Mediterranean seaside, I never tire of the sea, especially the coastline, for I know nothing more dramatic and alive than the meeting of waves and rocks as they clash in a stormy embrace before making peace, the foam lying down tenderly along the white sand. The scene is always beautiful, sometimes gorgeous. Sardinia spreads over about 320 km as the crow flies from the North to the South. Generally roads do not follow the coastline; they go along meandering valleys well sheltered inland. This, combined with the particular location of this island looked rather promising. Actually, during my journey, the changeable winter light of its overcast skies produced the intense and dramatic effects I like. As there is no pollution at all there and as the wind blows continuously on the coast sweeping the slightest blurr of haze away, the atmosphere is perfectly clear : a real paradise for a photographer ...

 

 

 

 

Je suis allé en Sardaigne en Novembre 2000 dans le but de rechercher des paysages naturels et sauvages, exempts de toute présence humaine, de toute trace de civilisation. Je me suis concentré sur le Nord et plus particulièrement sur l’Est réputé pour son caractère sauvage. Vivant sur les bords de la Méditerranée, je ne me lasse pas de la mer, particulièrement des côtes, car je ne connais rien de plus dramatique et de plus vivant que cette rencontre où vagues et rocs peuvent tantôt s’affronter en de tempétueuses épousailles tantôt se réconcilier, l’écume des vagues venant se coucher tendrement le long du sable blanc. Le spectacle est toujours beau, quelquefois grandiose. De la pointe Nord à l’extrême Sud, la Sardaigne s’étale à vol d’oiseau sur 320 km environ. La plupart du temps les routes ne longent pas le littoral mais suivent des vallées sinueuses, bien à l’abri à l’intérieur des terres. Ceci, conjugué à la situation de cette île, bien particulière, ne pouvait qu’être prometteur. De fait, au cours de ce voyage, la lumière d’hiver fut changeante, avec des ciels chargés, produisant des effets dramatiques et intenses, comme je les aime. L’air y est d’une pureté extrême - on est loin de toute pollution - et le vent qui souffle presque en permanence sur les côtes contribue à nettoyer les ciels de toute trace de brume. Un paradis pour le photographe...

 

Sardaigne (texte)


Sardaigne : les Caraïbes de l'Europe